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									| Guy de Maupassant | 
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						mise en scène : Ladislas Chollat 
								 
								adaptation et interpretation : David Gabison (distribution en cours) 
							 
							Production CS Compagnie, soutenue par la DRAC Ile de France (Ministère de la Culture) et avec la participation de l’ADAMI. 
						 
						 
						
							
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								fichier PDF 
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						  Durée : 1h 
							 
						avril 
						Péronne mardi 7 et mercredi 8 
						03 22 73 31 00 
						 
						mai 
						Doullennais 03 22 77 80 00 
						    Doullens lundi 4 
						    Terramesnil mardi 5 
						    Humbercourt mecredi 6 
						Quend Plage jeudi 14 et vendredi 15 
						03 22 23 32 04 / 03 22 23 21 20 
						Ailly sur Noye vendredi 22 
						03 22 41 71 71 
						Hirson vendredi 29 
						03 23 58 38 88 
						 
						juin 
						Le Mail - Soissons mercredi 3 
						03 23 76 77 70  
						Picardie Verte vendredi 5 03 44 04 53 90 
						Plateau Picard 03 44 78 70 02 
						    Moyenneville mardi 9 
						
						    Ferrières mercredi 10 
						    Ravenel jeudi 11 
						 
						Tournée en cours d’élaboration… 
							 
						 
						                              
						 
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						 Maître de la nouvelle, saisissant les mouvements de la vie avec une précision et une clarté aiguës, toujours à la lisière de la satire, Guy de Maupassant n’aime ni la guerre, ni les militaires. 
						 
						Fléau du monde, la guerre fait disparaître la loi, le droit et « toute notion du juste ». Semant la mort sans discernement, elle instaure le chaos, oblige « à vivre comme des brutes, dans un hébètement continu, piller les villes, brûler les villages, ruiner des peuples … ». 
						 
						Deux voix, un homme et une femme, interprètent l’histoire de la belle Irma et du capitaine Epivent, très admiré de ces dames. Tous deux devinrent amants. « Il promena, étala, déploya dans Rouen cet amour, comme un drapeau pris à l’ennemi ». Puis la guerre les sépara, quand il revint, il la retrouva à l’hôpital, atteinte d’une maladie inavouable.  
						 
						Eclairée par la biographie de l’auteur, cette nouvelle s’avère très personnelle. Derrière le chant Sambre et Meuse qui ponctue la pièce de ces accents glorieux, se fait entendre une autre petite musique : celle, infiniment touchante, d’un homme solitaire, sombrant dans la folie. 
						 
						La parade et l’ostentation n’ont plus cours, la cruauté et le dégoût prennent le dessus. 
						 
							  
							
							  
						 
						  
						 
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